Peine à lire
On parle beaucoup de ce que j’aime sur ce blog. C’est le but. J’aime me concentrer sur les choses positives. D’ailleurs quand on met tout son coeur et toute son énergie sur les choses qui nous rendent heureux, les autres misères tendent à prendre beaucoup moins de place. Aujourd’hui pourtant, c’est bien de quelque chose de pas génial que je vais vous parler. Pas pour m’étendre, mais pour quelque part fermer la page sur cette sensation peu agréable. L’été dernier en partant d’Abidjan, j’ai emporté un livre de chez mes parents. Je fais toujours ça. À la base, je le commence en pensant le finir sur place, mais par la force de l’appel du Mix et des placalis de 5 heures du matin, je ne le finis pas, et l’emporte en espérant que personne n’était en cours de lecture. Les enfants, c’est chiant, c’est bien connu. Cette année donc, j’ai trouvé « Un très grand amour » de Franz Olivier Giesbert. Le nom ne m’a rien dit de prime abord, le visage lui m’a situé lorsqu’après plusieurs …