Du blues de la bonne nouvelle
S’il est vrai que l’hiver et les petits bobos de l’âme avaient mis mon niveau d’énergie à plat, il y eut aussi à ce fait une toute autre raison. Une bien plus gaie et positive que beaucoup d’entre vous ont devinée, ou tout au moins soupçonnée. Nous attendons en effet un heureux événement pour cet été. Bien que j’en sois déjà bien dans mon 3ème trimestre, j’ai l’impression de ne commencer que maintenant à réaliser ce nouveau cap que nous nous apprenons à franchir. Vu mon état physique et moral dans les premiers mois, j’ai plus subi que vécu cette attente, en ayant l’impression que 40 semaines (éliminons dès à présent la possibilité que ça aille au delà) seraient interminables! Il est vrai que j’ai eu dès le départ la mauvaise bonne idée de jouer au jeu des comparaisons, ou pire encore, à celui d’anticiper sur les 40 semaines à venir. Je venais de me séparer d’un boulot qui avait cesser de me convenir, mais j’avais très à cœur de me réorienter vers un projet qui m’occuperait …