Aujourd’hui, il etait un peu difficile d’echapper a ca sur le net:
Enrique Iglesias and Nadiyaa, Tired of being sorry… et encore, et encore, et encore…
Bon de Nadiyaa, je sais peu de choses, a part « Et c’est parti… », une vague idee de sport de haut niveau et une rumeur de bisou avec Zizou qui trainait dans les couloirs lorsque je faisais mes armes en tant que stagiaire attachee de presse a Paris (vous n’avez pas idee de tout ce qui vous tombe dans les oreilles dans les couloirs d’agences de comm’ ou peut etre savez vous exactement!) Donc bien sur, comme toute ex parisienne ayant un tout petit peu de pretention culturelle, Nadiyaa, je ne connais pas, mais j’aime pas…
Enrique en revanche, si, le fils de Julio, le frere de Julio jr et de Maria Isabel, le petit Iglesias… Tout de suite vous rigolez, en voyant tout de suite Bailamos et compagnie… Mais Enrique, je l’ai decouvert il y a environ 10 ans, il avait 23 ans, chantait en espagnol et pendant de longs mois, je n’ai pas quitte cet album que ma tante m’avait ramene d’un voyage d’affaires a Madrid ou Barcelone…
D’Enrique Iglesias (euh, la je parle de l’album… faut dire qu’a ce moment, il n’avait surement pas d’attache de presse pour lui expliquer que l’album du nom de l’artiste, c’etait limite…) je me rappelle tres peu, juste que j’adorais ecouter ces chansons en espagnol et qu’il y etait question d’amour… mais vu le relent de sympathie que cet album a creer vis a vis du petit Iglesias, aujourd’hui, j’ai envie de le redecouvrir…
Alors demain, alors que je vais tres certainement passer 7 heures en voiture avec mon patron sur les routes anglaises, j’ai decide d’emporter avec moi cet album…
J’aurais bien voulu mettre un petit extrait pour vous donner un apercu, mais j’y arrive pas de mon ordinateur… et il est deja minuit…