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Sleepless in Stavanger

Je suis un etre faible. Et je me plais a jouir de cette faiblesse! Et cette faiblesse, souvent se couple a mon cote obsessionnel… La, ca se complique un peu. Pour y remedier en ces temps de crise, et après moult tentatives, j’ai essaye le shopping imaginaire… aucune raison de me priver de regarder, choisir, ajouter aux paniers et juste ne pas valider… Un petit shopping illusoire, une attente illusoire des beautes commandees, et plus tard oublier, l’esprit etant passé a d’autres chimeres. En theorie… Parce qu’en pratique, je n’ai pas oublie ce sac… Comme une petite sournoise, je suis allee voir, tous les jours, s’il y etait, s’il attendait des lendemains financiers meilleurs, et j’etais bien rassuree de le voir la bas, bien patient, toujours a -50% dans mon panier virtuel. Un jour pourtant, il a disparu, envole, parti rejoindre les bras d’une autre. Ne pouvant m’y resoudre, j’ai appele Nordstrom, et demande qu’on effectue une recherche dans les stocks, sait-on jamais… On en a trouve deux qui restaient, a Seattle! C’est ainsi qu’aidee …

Ma petite FIAC a moi

La semaine derniere, loin de Paris, j’ai eu droit a mon petit bout de fiac. Nous sommes d’accord, la FIAC c’est bien la Foire Internationale des Arts Contemporains?   THE BACHELOR, saison 12 episode 1, c’etait en tous points une foire, c’etait aussi international, definitivement contemporain, et a ce stade la, rien de moins que du grand Art!   Je vous dois une confession, je suis veritablement eclectique lorsqu’il s’agit de television. Je suis autant amatrice de documentaires et de cinema d’auteur que de series televisees a faible sollicitation intellectuelle. La tele realite, donc, je consomme a haute dose; parce que j’adore savoir ce qui se passe chez les autres, parce que malgre toute la compassion que j’ai pour l’humanite je trouve que l’etre humain est passe maitre dans l’art du ridicule, et parce que je trouve qu’il vaut mieux en rire qu’en pleurer!   Et dans THE BACHELOR mercredi dernier, il y avait matiere a rire!   C’etait « Le diner de Cons« , sans la culpabilite de rire d’un pauvre gar qui fait tout pour aider, mais …